re scolaire possible. l'aire comme dans l'Ontario, c'était viser
: malière de programme pouf éofifier le soin aux commissaires
Chacun des Alliés est entré on ge LE PT
ou an mn D 0
PR garder pieusement le sou- | par
Avant ls guerre, l'Enlente cordiaia | venir de cotte solidarité; mais elie né | français
ie ana Pa cree à ve -ohnnnligpéapnn, Lo épnrte
me, L'accord. de 1904, auildébiteurs des autrés, et, où. gaitict
r, #1 la déclération de güërre de la |
‘| Grande-Bretagn® a d'un grand se
éours pour la France, ff rapide imo-
ditisation, de la Frahce a êté d'un
Du Bon Sens eee
EE cé Ans frand secours pour la Grande-tireta-
Nos lecteurs: n'ont peut-être pas fait atteption à un article | ’éraine daus les cinq parties du mob RS Se 2 runs ner 4e ‘que, fane.
| pire IE
es P. Lacouture S J au collège. |
dr EL, du 21 juillet dernier, sur les changements ap:}%% Ælle paraissait d'autaph, plus in- a! non TEE ie La Frañce a le droit de revendiquer
grareine, scolaires de l'Ontario. Ce sujet vaut la ANNEE NS. oparen ur, Eine, : ee LAS ea rébnion at MN 4 FM LE
Fe Péviente e « menés colonies transformées en. eïn- ‘la Coni Paris, Po e uno lerge part dans l'honneur
"quon pires: c'était, en Amérique, le Cana- . l'attentat de Serajevo,
iükique l'attitude de l'Autriche et de pee.
[l'Allemagne devint inquiétante pour ln} Une fois les hostilitäs commencées,
77" {paix dû monde, rieñ se nous permet-| chacun des deux peuples a réalisé des
YU dé préjuger les résolutions de prodiges pour assurer ‘la Mn er” et
x Pr. me Blé n' évait-Atoun en:
| sucquéhei il était hébée qu'Untario avail le meilleur sys-[6<: en Atrique, l'énorme Etat du Cäp:
en Asie, a riche et mystérieuse Inde;
et très peu savent que-notre ministère de l'ins-
ue s'est appliqué à copier Ontario. : .
Ok Ontario vietit de déclarer sans fausse honte que son an-
cien el ses programmé scolaires ont fait banqueroute,
it radical s'impose:
estimer 1en-merveilleux eforts eccoi-
plis, sur terre et sur mer, par l'Em-
pire Britannique. £a moins d'un an,
SRE açcla:
es | France ei 1913, dans la personne
[ai Préciaent ao ia Répubtique: la vil-
ques. Partout l'empire britannique.
Et puis, soudain, voici qu'on voit s'é-
donner | à réfléchir aux copistes Manitobains, car | lever an sénith un astre nouveau. de Paris avait 1914, Lord itchener a réussi à constituer |
le système déct une bénqüeroute par les Educateurs d'On- ns ca be: ru
lario ést encore en pleine vogue au Manitoba. me rapide ppelée
{ pas d'hier, qu'à “La'Liberté” nous avons soutenu |,"
mme scolaire manitobain, par sa Co cn era eds et
Qui vient d'Untario
$ Pour amener un @ re ne
p long, ennuyeux peut-être, d'entrer dans le |!
ments; touchons simplement à'deux ou trois ;
important à noire c'est le re %
a‘ po ‘des parents, Em imatfèré RTE bi ia
+ est le pro ngement de la famille; pourquoi alors l'au- Lui US oi. ; pes à de ets 108 pm Dontinions amé:
ve, à soleil, eu Famérique, Pme ni es : Pr Hiatives : pour retenir l'Allemagne et
: | Free. 02e pres Ê er g
inérité de
résentée LE rent d'instruction pu- jont l'autre à Lôn
blique s btit de toute l'autorité en matière scolaire? Les ter PI a) ur Rad greg: cu ps idees * ag #
syndics offic surtout. sont un abus sans nom. at Ainsi, la crainté ou l'amour de l'A:
les reréhdications Re à chaque ;
Dominion:; tout cela est qu 'amusette.
Mais arrôtez-vous âux couplets con-
mérique-ont peu à peu pris .une-place |
tené dans le coeur des «peuples for- ;
cernant l'Amérique. Car 11 y à eu|mant Vempire Vritannique; qu'il ‘est, ÿ é
waire disconrs et quatre éouplets à | Permis de mesurer Robe «5% restant | les avait, tout de suite, A2ès sur ce
l'Airérique. Arrêtes-vous, car ici nous | POUT "àtmer © PGA 4 DE mr d'opinion,
Fes au seul, au véritable ‘problé- | Ainsi, la seule appréhension que 1e ré] 1e. vontuees Pos vers. ER PRES
Le nétiveau changénënt qu'on va introduire dans FOniario
enlève au ministère de be er rt tu publique l'omnipotence en
‘scolaires agissant de concert avec les principaux des Hootes._——
La raison de ce changement c’est d'adapter le programme
aux diverses exigences des contribuables. C’est élémentaire, ce | me. nouvellement du traité anglo-japonais | Par l'homme de la rue; et ils aiten-
semble, et on aurait pas dû l'oublier; un enfant de ville a besoin] C'est M. Meighen, premier ministre | P9urralt déplaire à l'Amérique vufnt nant ve mg are 7 Med
d'une autre formation qu'ün enfant de la campagne; un enfant lu Canada, qui administre une rebut- à fafre se cabrer Je pins 0) t6 belge, mé SG combist nie
qui se prépare au commerce a besoin d'une autre formation |tste à M. Lioyd George, à propos de | 4% Cap. Ainsi, le mot d'ordre, ce n'est
prendre, tente aurait prolonger. :
qu celui qui se dirige vers les métiers manuels. son dithyrambe sur l'égalité des races. er que eh er RM HA TEE, Berlin a Cabinet
Un l'avait oublié dans l'Ontario; on l'oublie encore au Ma-|"- 14074 George excelle à précher aux | Qu a vortissement et quelle lëgün! |de Bruxelles à révolté la conscience
nitoba, bien que jusqu'à ces années dernières l'Ontario préten- |*"tres les vertus qui n'a pas à pret l Lu iusgment, c'est que lès hégé-| britannique, L'Angieterre gärénte de
ver; il prêche aux Français l'amour “
deit avoir le meilleur creme scolaire du monde, et que le . monies égoistes sont toujours mena-| l'indépendance de la Belgique, n'a pas
’ des Allemands, fl préche aux Améri- ; à
Mahitol le " d cées de prendre fin à üne heure quel- | un instant songé à lier ses enga-
gl cains l'amour des noirs, fl préche aux | pause a formiäsblés qu'elles gements. Pour les tenir, éfle à décie-
Un même programme pour tous aussi chargé que possible, | Canadiens et aux Australiens l'amour! + ja leçon, c'est que lés à ré le cuis à T Allemagne ot elle à
| réparable. A cetie heure - décisive,
voilà quel était l'idéal, Ontario dit que c'est une banqueroute |des jaunes. Cela lui est aisé: ni les tes désintéressées ont une force de pris ainsi, en-toute liberté, une décl:
c'est: l'armée française qui à été-l'a-
et nous le croyons sans peine. Quand les autorités scolaires Ma- | Allemands, ni les noirs, ni les jaunes à go pénétration pres-| sion qui gl fait grand honneur. et qui, [ant #arde des armées de l'univers et
hitobaines verront-elles clair, et auront-elles assez Ge loyauté [9% 1e #énent. Que ge cs: de que sans limites, L'Amérique qui, au | qu reste, Btuit, elle sussl, conforme à #9t fall décimer pour le salut de
pour se décider au changement. M 5 Mr: ae ago 4 cours de sa jeune histoire, « pu com-|son intérêt bien entendu. Elle ne pou. |tPUs. C'est elle encere qui, les semal- |
Voilà : 3 n pds Le : ail M. _ 4 mettre les erreurs, à donné un exem-|vait, en ellet, ‘laisser les Allemands 4008 suivantes, a lutté de vitesse avec
pour le premier changement. C’est radical à n’en pas | serve sur l’homélie, et il a ajouté: ple sans précédent: celui. de ne. pas | sromparer d' L dés 5"
douter, mais c'esi aussi désirable que radical. —Quant au renouvellement du traité x “TE Date. e beats
user de sa force pour asservir les Au-|s"installer définitivement en face
Un secopd changement qui sera bienvenu, c'est l'allègement | *"°° le Japon, je dois dire que je le|tres fie a fait des guerres, mais | d'elle, sur la mer du Nord. Dans Jes
des programmes. Un oublie qu'un enfant de dix à douze ans |#ut#r#i avec le sens de eg TOSpO- Ltoujours pour Mbérer, jamais pour COn- | plus nobles déterminations des Puis- |!
n'est pas un universitaire. On voudrait en faire un petit prodige etaient ondireré auérir, ‘Elle défénd'ses intérêts, mais | sances 11 y à toujours un peu de ot
en lui enseignant mille et une chose, et on gache sa formation. ré ollo ne taf ses 00n marché de Ceux | égoisme sacré dont un Président du
ï | @e mon pars. -(alé,) d'autrui. Elle ne cherche pas à Té-| Conseil italien a fait, au cours de ln
Ce système a fait banqueroute, dit l'Ontario, C'était pourtant, C'est M, Hughes, premier ministre | gner pour divisér, ni à diviser pour ré- | guerre, une apologie raisonnée; et
facile à prévoir. Mais dans notre jeune pays on a souvent pris d'Australe, qui. a rudement signifié | guer. lorsque, ces jours-cl, l'ambassadeur,
des vessies pour des soleils, et il ne manquait pas de bons hom-|-— point capital! — que désormäis la | Ce-sont des vertus très rares. Elles | ges Etats-Unis à Londres à déclaré, au
mes qui prétendaient avoir découvert un nouveau soleil chaque | politique étrangère ne devait plus être | devraient d'autant plus séduire les pet-| Piigrim's Clwb; que on pays “n'avait
mois ou chagüe année. Après essai ce soleil se changeait en|la prérosative exclusive du Royaume |ples qui font des affaires que ce sont | pus envoyé- des soldats au dslà des
vessie. Uni, mais que l'empire tout entier de-}des vertus qui payent. ‘
vai être consulté. Et il a -immédiate- Stéphane LAUZANNE.
ment donné sa consultation en indt-. —Le “Courrier des Etats-Unis.”
Untario tranche bravement dans le programme. Un enfant
ou un jeune komme ne peut pas apprendre tout ce qui peut
s'apprendre. Enseignons-leur les choses les plus importantes.
Ca, c'est du bou sens.
Donc pour l’École Elémentaire, il y aura trois sujets obli-
gatoires, Eu outre de ces trois sujets obligatoires lé bureau des
commissaires, assisté du principal, choisira pour ses élèves des
sujets de moindre importance, par moins de deux et pas plus
de huit selon la force et les talents des enfants.
ni senc ++ -gpailie prévaut pour l'Ecole Moyenne, et A 230 Finales du simple pour RUN
rai R. Couture vs P. Dubuc.
pour sauver les Etats-Unis d'Amért
que”, le colonel Harvey n'a fait qu'ex-
primer, à sun tour, line vérité que la
France est. trop souvent tentée de
chez soi), Qu Chacun pour soi, ont,
sans doute, du point de vue d'une mo-
rale supérieure, quelque chose d'étroit
Le Tournoi de Tennis
Programme de dimanche;prochain.
qui réstait jusqu'alôrs inexptiqué. “an
: suite du degré de désorganisation de
LU faudrait être naif et n'avoir aucune expérience des choses
qui touchent à la formation morale et intellectuelle dés enfants Finales du simple pour dames. ”
pour croire , l'Ontario a du coup guéri tous ses bobos sco- Melle Y. Prénderÿast vs ._ Melle McLean. ritebles mobiles de notre prochain. | Lures, 11 était difficile de se rendrel.
laires, mais c'est in coup de barre dans le bon sens; décentrali- À 3.30 Finales du double pour homes. Donc. cnacune des nations alliées |sompte de ce qui s'était passé. D'une |
sation au profit des commissions scolaires qui représentent plus ||} " Finales de double méisté et associées est entrée en guerre pour | façon générale, on ne pouvait deuter, | tre
immédiatement les parents; réductions des programmes sc - ja # k US son propre comple, et d'aucune on;cependant, que côte armée, ne fit,
laires surchargés sans bon sens, et adaptation de ceux-ci aux A 4:30 Finales du simple handicap pour honunes. n'aurait pa, excès de candeur, | brisée et qu'uns brèche n'eût été ou- ont
besoins locaux des populations. Finales du simple handicap pour dames. sages une vnge € Nous | verte pers | le Long droit dela trot- Las
Voilà du bon travail: le plus tôt le Manitoba imitera l'On- A5 Finales du double pour dames. o 'ete de mg ù Me ia sai de cette 7 me" pourait
tario sur ce point le mieux ce sera pour tous,
d À ’ " « 7 > 3 rs ?
. 3 2 2UP id À LE É', + 24e de F L.
=” tea 1 … A | l hénarg, C le R s- or: è
| aa sis AR À SARL + 4 L'giee Le ra A
Le ‘. A NE 2e YEN Le 7 11 ‘4 û 2 ww J J
cheveux d63h. avis, Aübordagt ce
a .OMouré de ses cuiacts qui ja
a nent, ne tiquinen:, Lavagest tun ,
G0 {1 tes-étjmule,:los égale, prend | nous répétaitil, étaient: heüreulx et
fa et vause sartout- pour. les pius (forts, Us s'aimaient et-aimajent. à é
patitn, didime"leur dispute #3 juge de» leusomhie, Dans chaque foyer. À >
nafeur supréme, ot {igle sur sa gros 0 Esvait, pendu à a place d'honneur, u£
Vice éparouie teu'e sa lole de papa Écrucitix, un beau grand Christ: C'était
Men alitné. La héritage qu'on se transmcttait . de
Pat la loptire du non, arrivem | père 02 fils, où qué les jeunes époux
les, mobes d'une musique lointèine ot f{tvalent fat bénir le jour de leu ma
ébéte: pois cu c-49/ 088: d'une ro-
mance dont lex pareïei. rentimentates,
méôlées af Pa: joyeux de; dix e:
+ Annie, * + . BA#T Jiétof{g" lon
FROM qui accompègns au plano.
pee éravrét: une sf jollé rosrance
Li gentiment lnterprét‘e par #02
ds am trés 6 du depuis
daclides ol. et qui fait pus à
MAÉ HETHON, Fons: Foët destié de ea
7 7 des solrées d5halones,
J Boni, ha papa; bonsoir is en
is fants, Cébimoÿf ç1 nat?
C'est Jean Naraébe qui saive, émer
FA gesnt sidain roux les deux érables
Dir qui otihragent la galerle el griv.ssaxt
des mapohon
vent, n'ayant pas toujours de quoi
ta ent rentrés, fatigués, pauvres sou
manger à leur aim. on priait enseub'e
» renoux devart le Christ. E* quané
on prie ensemble, on s'aime, dans |:
tualson, Et. quand ,on s'aime, la-table-
ên a: toujours fsrèz et c'est toujour:
wse% hon, Quand il ÿ avait des épreu-
ves: des souffrances sens la, famille,
5 Jos COMNL D œe ans qui avai
t FX lé, berceau du nouveau-né, qui
Lait 45moin des joies, des espérances,
des deutls.et des labeurz du foyer, La
mère expliquait son bistoire doulon
euse ax enfants; On Ÿ!vait content
pra son, regard. Quand: ln pe
tr comitettait une faute, oi 48
méntsatt du dotét. et cette legen. su
l'antt. Dans 1a mañsdie, on se résignait
“A songetnt &'eon agonie var la éro/x:
Fais, quand ‘aprochaît là mort da père
ou dela mère, on décrochait: lé cruci-
fx.de la muraille, on l'approchait de
3 maine: et alors le mourant, confi
ant, serein, coeur à coeur avec dé-us,
se donnant à Luii-avec amour, renda:t
soit dernier sotpir ‘en emibraësant je
Cüritt Oh! mon cher Jean, je: crois
que Feu: doit embrasser à la porte du
oiel ceux qui meurent dahs ce dernier
baiser!
+ C'est-bien consblast, vieil ami, ce
| gve tu me Gls là."Mais ce n'est plus
Éatol Moi! la coutume e +
|chez nous.
= fétoblisser-ta; tof er ta toutine:
ë çte:sotr, comma d hab'tude. pour vos enfants Vous voulez le: gar
1” à rcouté, mon cher, confia Ledroit | je her vona? Gardez fe Chriat ét
Pbéinidht la voix, tandir que 1: à |earaex 14 prites:
we Le gr AGREE D MP LE vb kr VIENSTU A LA MESSE:
>; “Tiens, c'est toi,.Oviée:: tn viene
: l'autorité qu'il faut ronserver : et
réspecter en cela comme dsns 8 FstrmtRe RM 'ERaRERe. Te
vtr les vieux amis*--
L: ['
qe \
k leréste, Enauite, si on yeut que
k D aiment 1: maison, il riut| 7 Vui, fe viens prendre esiaues
LE Fr. dolwème, dt. y rester. Pour jours de repos Corume ea ville les
sé dés wient de l'agrément avec néu:,|/Far0: ne nous ickent pas, 4 faut
D. laut on avoir aves-eux: Je nat !a
les lâcher sofwéme; C'est ce que j'a:
Ws:tant. de plaisir, ml, qu'avéé me
RARE, ot eux Wen Qut famats autant
“ait.
— Et ça va bien, ja bas ?
Neuts qu'ici, sntre éux. — Oui, ca va. Les débuts ont été
| Les miensime répétèni sans cesre:
Mes .assoramant! Les zutres y vont
> piles, je m'y attendais: mais au-
‘jourd'hu! je crois pouvoir fatre mof
D" hbien,tous los.soirs, au, Parc, aux Vues,
1 ' sen auto! Pensez vous qu'on
chemin, cat J'ai én vue uné entreprise
où fl ÿ à, je crois, de l'argeñt. à faire.
y tout 18 tmaps à reiter.à | Si tu veux Que je te raconte ça?
** Et le souper est à peïne| — Tu vas certainement m'intéres-
s'ils sont partis. *
yeux savoir l'une de mes {n-
jmtilléanan. «<'est toi, Fat ist re-
are, dvec son 1 re
de n humour; ot À Por
de lui Vean, son :assoeléà la fonderie
|. de la Pointe Saint Chares
”. - dnle. vois qu'on s'amuse, hein, los
jounesé ‘on. s'en :domne!: ,
Et fes éclats de rite récommencent
dd adpéns dn petit Jules rougisant,
re ‘dernière plainamterie avast Ci.
MAYÈS, yreyque une vatt'se,
E LUE donc, mon eher Étienne,
Out te “quete Pas pour ‘par-
hime ça, Le vote tros entants au
“ie nt fais in HR EN
a “Xe je. he les gardé ‘p43. FE £a
ù “io table, fts-s0ont encore torts}
ser, Je vais finir d’atteler et bu
mostons ea voiture, En nous rend°.n
À. la messe, tu. me me‘tras au éours ni
|
| après souper * | _ tes projets. Tu snceptes, n'est &
pas?
+ Ku. vouure!… tu mer A
Mais je suis venu me;reporer;. or, ii
sais, ja voiture, la. poussière, les cûlés,
tout cela va me fatiguer.
+ Comment, tü-ne vendrsa dois
pas à ln wiesse revoir nobre-vêlite à
fise et prier le bon Dieu évèc nous?
— Que veux-tu, je suté brisé par de
voyage, J'ai mal dormi.
plès mécetsaire qüe le spuper
éd PR OR AS, avec les
As-tu réèsge cette coutuine-là pa: ve we ait
toi? ÿ
té d'ai honte de de Fraude neûd l'a
z..nalt J'ai Missé «it souvent ma
i-pèule qu'elle s'est découragéé
goutume est tombés. ÿ Ë
Autrefois on Le
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truisent: la vitalité: Ron
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rage. Le soir, quand les hommes 6.4
voeurs qu'el.e voudrait comeertef
N'eurS D one léur âme tr -
: rêve» dissante? Uu vent pestilentiel vas 1
“L'heure est grave. C'est l'orlentatic »
de toute une vie qui dépend parfo.s
eniie dal lui. à * e des influences de cette pâriode.
L'attitute de ses étteits La À Ein ‘éfret, c'ést l'âge où les pissloi
Jan Catrement: . 4 svveillent et groudent. Un tata: »
“Quétié est la PSE qat ki cbh: rs Peu es dE de l'enfant, dès aspirations 14-
| ént ?° vos jeunes gens ne croient flus à 6e RE CE te, Je "€ omines jusque-là ve font sentir, uLo
Ette > réponde: ! 4 “| baliverues, ils sont pratiques, po Lpès somitme? Et (01 |. :spgnie sensibitits d'humeur, dps brus-
—Sohgez donc: PP Vus ‘même à-être. as - : de boh | jueriés de ‘caraétère, une joie 4
nett de 3200 bar année, Il- es! habl: Fétrés, d'avance .que-leur partenaire ou Me, mn urdante soüdain suivie d'une tacitu--
‘té qu'ou.ne serplique pas, C'est 1
\lutie du Wien ei du mal qui. s'engage, tt
ñ (a victoire est encore incertaine,
{+ Le; mères prüdentes se gardent bic
je. rudoyer leurs A:ts où Jeurs filles à
âge critique. Liles les ent entourent &:
s#æuvéilllance, les carressent de bou-
.@s péroles ei de soins affectueux, t+
<hent de garder. ainsi leur empire sir
Les êires si chers. Elles surveillent I;
compagnons où les cempagnes ile leurs
enfants, craignent quuné bouche pe:-
__. [verse ne vienne brutalement révéler
ve auielies-mêmes, vu le père, doivent
onseisner avec ménagements. bi
, Surtout, ; les mères sages éloignert
de leurs, fils êt de leurs filles tout «e
4 qui pourrait surexviter leur limagini:
: Ce:sera ‘simp! ement. exquis! tion fnquète, romans trop passionné:
Et parmi tant de: Joyeux plaisirs qui images suggestives, cinéma révélateu,
s'annoncent, prévoit... dé- nt excitants, llles savent com-
Ar aaaude rie Pape enr Le bien.est vive.chez-les jeunes gens un)
fumé;
uB à tés aites: fl h'ira pas restreïhdre Tes os Pr nes
wn trén de vie! N lil faut donc une Quelle délicieuse pergpectise d'aban-
‘elime: économe fl tant frouver ne, don, de confiance réciproque, de .me-
oune ffile qui n'ait pas de: goûts de tmalh-Cumme 2e pressent les scènes
NET au dépenses vapérfenres:
evetu. ‘” ; tréeriminations n qui,
Qui, ‘e le répète, tout est Îà con: Font chan (Dane Le manage Lendé
‘ensé ‘où ce vain tablean. d'igoteme see de tels principes!
lo calçul, de défiance, le tont souligné | . Et voilà où -aous ent cobtalls ed"
far une insouciancé nrratsembtable amour. du confort, ce: respect de. l'ur-
e:ce qui n'est pas bien-être. gent, ce besoin de paraître, de. briller,
Le jèuse houre ne considère WELL era de FOR en Ne
vbs
pas à nos enfants le cuite exclusif du |
tien-être et de l'argent.
AA mais j'irai au =
et äprès-midi. :, :. 4
Ca te regarde. -il me soie ‘dl
rendant que la,tmesse.. Léa
r— Oh l.es.-#'est: pas.que de aime |?
rs C8, quand 41 y x du: ben ghants
pra qu om ra A
méme rengaine, les mêmes aire, var
a ec «4 É de;
vous n'avez‘phs. cha d'erganivte, pas que ce soit très:bon..:: : A Pr ér erqe Les éducateurs habi
-wôis: los sermonk of ‘sans doute qe .… 7: Tues bien bon, i -0es.:velutes “bleues, lutmées hu - |ehenchent à développer aiors Jen. ser-
ème longueur! Enfin, eu te me =. Maïs - ést-ce de -mäniête. de se.| vers le 1éger:tübe. de: papier. ps a nobles, les: visions d'épopéo
tente bag :° reposer, de se distraire après uié se mn) HAE sui Sontopt. avi re rnae : du fevale ru
maine de trayail?.
«7 Sas dote, je sus obligé de faite
es pfforts pour me;rccuelllir, bannir
les distractions, comprendre l'instruc- E
tion, prier: avec été, mais Je com:
prends que, c'est là mon devoir; Ty
mets! un, peu de. bonne volonté et. le
bon Diéu m'aide. été
—, 4 moi 41 -faut mius de. vanité, »|
de: puis m'astreindre à. entendre ton:
jours les:-mêmes voix, je change: .tan-
tôt.je vais jel, tantôt là: se re ds
facile, , à
:r#, Et moi je ne change - pus: ts
quand je le pourrais, je me chapgerais
++ Tu ABouncs, A dat; PR
reviens pat... ‘am home de bon sénié
'abstéhir de In messe ei désérter soû
ætre ren pour de telles futi-
Méta! .
> Wréis-tu ie - avoit travattté
oute Ja -femätne, sois d'humeur à
ler écouthr du pliii-étiaht, me tiré
sJudofihir par des sermobs -vieux-jeu?
3 les prètres he peuvent pas rajenair
a religion et. bous fonner de: offices
ntéressants,.tant pis, 800 TEEN
le mob, toilà tout !;.
.—* ‘Arrêté; non paéate Ohiéé, mais
M diraisomnes. Que veux-tu dire par
un: service intéressant? Est-ce que la
lébrétion de la messe, le clant dés | 4%
otages du bon: Dieu, | embat
tes vétités: roligieubes, là. prb
re de toute la paroisse, tout cola n'est
5es süffisant pour taresser un và-
‘hohique?
— Je tie cxthbiéNS Seche + Wic-
Gr, mas mais peut-être d'uu goût plus
Fifore, Moi, vétstu, je ne vais. pes
1 l'ékiine pour hâlller: je. veux enten-
dre de Ta bonne musique, de joites voix. |
t'ensoltents aplistes, des pièces diorgnc .
studiées et des diséours ua pes mo-
dernits ot poignés. Je-veuix voir de
he» décors, des cérémonies émou-
, ‘entih QUE d'intéres
watiques. re 8 rement amusa….
:, Mais. quel. og cela vous Jaisso chait et les fantômes impurs be, souvent
ans Je: bouche! présents & l'esprit.
Quelle odeur aux doigts! . Dans unètelle disposition d'âme, où
: Quelles piqures sur la langue! Ldevine quelle impression doivent {aire
; Et.ces vilains grains de tabac qu'on sur une jeune adolescent les deminui-
avale! … : Pdités que les modes actuelles lui mei:
Et, la ire qui d'alourdis. qui, par- tent constamment sous les yeux, ji
fois tait mal! md ag en éprouve un déplorable stimnilant À
Non, en vérité, Madeleine ne: trouve s'injaginer ce ‘qu'il sÜupçonne, à 1
pas que c& soit très | bon!.… rer ce qu’il entrevoit. 11 cherche pat:
Madeleine, fume.) x. lioutä trouver _le:-fruit défendu qui se
Ælle, tumie malgré le méchant goût, dérobe.
Mg ae © gt Se au'alle| Or, c'est probablement à la maisoï
À crânerle Œu geste... parce dans le contact intime de se3 soeuys
eg pr gd pe se er D Que c'est quelque chos de hardi, hors | ot même de su mère, que !a berc
speed ha aller, | des conventions,….que. cet éhyabisse- |ardente de cet enfant ent le plus sou
PYSRNUS 0 Q0LS Que nee ee ment d'un -dumaine réservé aux hôm-| vent :et le plus vivement provoquée.
pe Fi “ De. tes mpa, que pp.pefit élu. de révoite th: |ces modes hardies que l'on adopte,
que c'est Phi À que je dois à ": ds. tin courantes 7, qu! mêmé dans les foyers respectables, ces
mes ce-paroissiens. {à : [n'engage, pas, s cobsciinee, qui nel ss échancrés. et flottants, qui
-— Papé,-di voiture est prête, nous QURPFUREL 2Ps OA rain + . sollfcitent l'oeil, tuot cela surexcite le:
vous attendons: : À Lung PRE pps le plus mauyais instincts du jeune hom-
— 4h cher. EH Éaréresne mel de peter # mA PPS Ve ie. La curiosité, jamais satisfaite, e;t
D Pr 2 5 ot re Mie cons a 0
Joux, sun bien; : ave. |: 1 voñà pourquoi Made-|e qui ve. dessine “
ga: à re dre put lelue 29 devrait Le ; l'ou médite ; ur s'instruire
Le voilà qui fait de le religion à‘ sa _Fumer, est une ! dre Ag po
| façon, quand cela Jui plaît, où céla.duf | ei vaïr-convénitlon, et ausal à cause du
mail, comme ce:a lui plait, absolument + dirais même : Qui: oseralt dire que. de toties pré
1. Ag ge el La = ” és occupations AR Mao pas
qe j'entend srandit je-
pour ie jeune homme un danger cons-
bore un, hélas! ae la ville’ où en rs ais à-briser. eutions.… tant et très souvent un péché grave?
trait de tuer. 1e Las tbe Pa tal Et qui dira que: la femme qui par sa
Um CRT ; luços de se vêtir, provoque una, telle
curiosité peut se laver les mains el
répondre au Selgneur qu'elle n'& pat
tt
1 ut: Je compris ivätatenait.
| Auind tu vas à, J c'ést"
faire Qu changement däns tés Lie
neski;: d'est pour: varier lhetre et
te
ue à de trois douée où 4 sbirait
mddé:étié raie: P
308 sont mes. + A ON
] # autre nids
tilé de se faire fllusion:; it peut arriver
qu'üne mère honnête, mis ped, réflé
ghie, soit pour son fils ‘wün, véritsh'e
daéaker moral; |! arrive qu'ide soeur,
bogne peut-être, mais entrainée pat ls
Es Le plutôt
em 4 de
Hire
soeur la voie qui Îes
vers ‘ses disciples leur dit:
‘les Youx qui volent ce que vous voyez.
Car je vous déclare que beaucoup de
prophètes et de rois ont désiré voir
|ce que vous voyez, et’ ne l'ont point
vu; entendre ce que. vous entendez,
et ne l'ont point entendu. Alors un
docteur de la loi se leva et lui dit pour
lo tenter:
fausé pour posséder la vie éternelle ?
Jésus lui répondit:
dans la loi? qu'ÿ lisez-vous? Celui-ci
reprit: Vous almerez le Selgneur votre
Dieu de tout votre coeur, de toute
votre âme, de toutes vos forces et
de tout votre esprit, èt votre prochain
comme vous même, Jésus
Vous avez fort bien répondu;
cela, et vous vivres. Maïs celui-i, vou-
lant se faire paëser pour uñh homme
de bien, dit à J6sus!. Et qui est mon
prochain? Jésus, prenant la paroie, lui
dit: Un home allant dé Jérusalem à
Jéritho tomba entire les malins des
voleurs qui ie dépouillèrent,
virent de plaies, et s'en alèrent, le
laissant à demi-mort. Or.il.atriva qu'un
prêtre: allait par le même chemin; fl
vit cet homme, êt passa outre. Un lé-
vite étant venu près de là le vit aussi,
chärgée de l'Amé de son frère? Tu |
Brandt
:XU.DIMANGHE APRES LA
+ … PENTECOTE
—_—
En ce tempsia, Jesus se tournant
Heureux
Maître,. que faut-11 que je
Qu'y at-il d'écrit
lui dit:
faites
le cou-
ct passa de même, Mais un Samaritain
qui-voyagenit vint àh passer près de
cet homme, et l'ayant vu, fut. touché
de. compassion, S'étant approché, il
versa de l'huile. et du vin sur nes
plates, dt les pansa; il le mit ensuite
sur son cheval, et le cpnduisit duns
une hôtellerie, où: 1il.prit soin de lui.
lendemain il tirade.sa hourse deux
deniers ei les donna au maftre de Thô.
*ltellerie, en fui disant: Ayoz soin de cet
homme, et-tout e que vous dépense-
tres de plus, je vous le rendrai à mon
retour. Lequel des trois yous semble
avoir été le prochain-de celui-qut-tom-
‘fba ottre les mans des voleurs? Le doc-
teur .répontit:
la miséricorde erivers’lul. Allez donc,
C'est celui qui a exercé
Jui dit Jésus, et Si 4 Los
poër: Hnsoninie, ee d'appé-
tit, con. tem péram-
inents nerveux, les épuisés et
tous ceux qui ont besoin d'être
fortifiés, pour les mères en nour-
rice, etc.
En vente là où on vend les
médecines patentées.
Ce Richard Be Beliveau
J. O. Brunet
w2
\
ji
[3
H
tante
mais J'inno-
j je ris-
sur cette
me vint de
que j'é-
Li
fonçant j'arrivai près de , Jean,
Settoyait sa charrue.
” “Bonjour, Jean 3
Ben le bonjour, mamselle! dit
en ôtant son bonnet de laine, çe
permit à ses cheveix de se dres-
tout droits sur sa tête. Quand ils
‘étaient pas soumis à une pression
conique, c'était uné particularité de
25 2m de se livrer à ce
ds viods. vous consulter sur une
chose-très, très importante, dis-je en
|| appuyant - sur l'adverbe pour éveiller
son intelligence, que je savais :::dis-
posée: à courir la pretantaige quand
on le questionnait.
… À vôtre servicé, mamselle.
-—— Ma tante dit que tous les hom-
mes sont des sacripants; quel est vo-
tre avis sur ce sujet, Jean?
o
.… Des sacripants ?: répéta: Jean, qui
écarquilla les yeux comme s'il aper-
cevait ar monstre devant Jui.
Oui, mais c'est l'opinion de ra
tanté et je veux avoir la vôtre ?
— Dame! çà se pourrait ben tout dé
même !
À: Mais de n'est pas une opinion, ce-
la, Jean! Voyons! croyez-vous, oui ot
non, que les hommes sort générale-
ment des sacripants ?”
Jean appuya le bout de son nez sur
l'index de sa main droite, ce’ qui est
comme on le sait, l'indice d'une pro-
foride méditation.
Après avoir réfléchi une bonne mi:
nute, il me fit cette céponas claire et
décisive :
“Ecoutez, mamsetle, je vas vous di-
re!:ça se pourrait ben que oui, mais
ça se pourrait ben que non.
“Buse!” lui dis-je, indignée de
contempler un tel phénomène de bé-
tise.
ll ouvrit les yeux, il ouvrit la bou-
che, il ouvrit les mains, il eût ouvert
toute sa personne, s'il avait pu pour
mieux manifester son étonnement.
Jé revins dans la cour du Buisson,
en pestant contre la boue, mes sabots,
Jean et moi-même.
“Perrine, criai-je, viens ici!"
Perrine, qui nettoyait les terrines
de sa laiterie, accourut aussitôt, une
poignée d'orties à la main, les bras
nus, le visage rouge conime une pom-
me d'api et le bonnet sur le derrière de
la tête, selon son habitude,
“Quelle est ton apinion sur les bom-}ras grand'chose, mais les hommes sont
mes? dis-je brusquement.
— Sur, les hom..."
«Et Perrine, de pomme d'api devenue [sûre ?
pivoine, laissa avis ses orties, prit
Linimen Ï Minar
LNIMENT
L'INFLUENZA
|
Les Rhames
Les mrux de
otcr
La Diphierie
‘bles! r ie, Perrine, don les petits
tan?” :
USEZ DU s'ils avaient représenté jes bipèdes, ob-
CONTRE pensant que je n'étais
Les Froids me paraissant tout à fait insuffisantes,
dormir et 7 Je pet set PTE
Et: uit |
| “Ole prcbipenle 21 visage te
Tank que je Me 8.à, en prendre. Je
se tardai pas à conptater un rapide ". LEA * 4. MEL RAA FT ANNE VS
:| nrogrès; Six bouteilles w'ont tout : |; L'ART NE De LA à . Fe: ji Ee
fait Ubérer de mes indigestions, de ve: ru e ‘ Épé À ÿ eine
mes maux d'esiomac et de M ÿer-
vosité: Je mange main Avec ‘ap | nait pool ( d'effer en s'adres- | # y a, il f & # we ds “4 “à 4
péth"f je jouis de tonte que je | D ne aiaie CDS he de Enfin, je devins
mishge, Je dors. comme un enfalit et !: ; subitrmen
jme | ?re ou une échelle, dit'ama tante. ‘à
le suis aussi biph portante que femme |" "p ui elle, oui, c'est vari te Si ma ‘ante he Sp wr Flus, 34
l'être.| 11 est vraiment étonnant que :
le tortilla son tablier, baissa les yeux, le Tanièé at pu tie faire quant à répondis-je. :
— Ma pauvre enfant! s'écna le eu:
et-me parut disposée à prendre J8 vou ln je cfots que c'est-te-metlleur re
dre d'escampette. SU de ste.” ré désolé; vous êtes svrabée sur 34 tal
se?" Te à
“Après! Fnis dons! ER Wunne SUN EU æ
— Mamsellé va me faire dire dés Je fis un signe alfirmetit.
“Avez-vous mis de V'arnica, ma pe.
ns Reel
sottises. bèn. sûr! je m'en vas”. coup plus de sa vache que de mes-ins-
Et, m'adressant la plus belle de ses tu TRS à tite? Le
révérences, elle disparut dans les pro- ce genre 4 s, le fer-} ©:
fondeurs de sa laiterie, dont elle me mer, à huit heures du matin, amenait La cn TS Nes ae reprit
fera la sorte au nez. | sans 1e cour une sorte de curriole an | jour je œuréj et ne VOUS Bccupee pas
“Pourquoi dirait-elle des sottises ?. [91e 4188 le pays meringole. Me li cu éiourdie: elté nu que ce qu'el-
Allons! je n'ai plus de ressoutce que! *11* ait en grande tenus, We) périte 1”
dans Suzon; reste à savoir si elle vou- chef orné d'un chapeau rond en feutre | 14 curé ne dit plus rién; jl-me Ai]
dra parler”. noir, auquel elle avait ajouté des bri- |, it signe d'amitié et,n'observa à è
J'entrai dans W'ouisine. Suzon, ar- |3°5 d'ün violet tendre. À posait Ja dérobée.:,
mée d'un balai, se préparait à le faire | "Anement sur le huit dé éoil-chignon | Mai je ne faisais pas grande aiten- |:
fonctionner activement. li me sembia [Ie était envélér2ée dé fourrures |,0, 3 ce 2e passait autour de moi.
qu'elle était dans ses jours sombres, Je songeais à. rl charmanté Cathe-
ee) ce principe qu une ‘ + Henri
ne peut pas pe met |
veux b
2 Costa) tu ne
{méeréants, pas,
nouvel
vppôts de 5®
Perrine se ss à rire à pleine Fou-
che. À
“Voyez-vous, mamselle, le parier
des mécréants ést si doux que.,.” .
Îci, elle s'interrompit pour es donner
un graud coup de poing sur la tête. El-
ais lère
ve: diéretalr À GUNRO m abENe den mème gun me FR
employait “dès -moyens machiavéliques si moment où Brume
vd og rem J'étais ith, 4. fenêtre, je .m'arrètai dans. me. le
ue V2 LR: à a AREEES 2 © Trere: pour pour M'écrier : 0 C'& Dér a
* Un-jour,-je-de-vis-se-diriger vers 43! .#L4 petite sé # Somme # ab.
bibliothèque, mais je, n'avais: garde | eux?" à
oublier 14 clef dans la serrures ire | En didant cés môts, je wvii dé |
‘int'eur Les pas en‘scoriant la tête e° | "erai. ‘un grand, orfetr voyant le curé, | 4
fa len passant’lamain düns-ses cheveux: |tebout, devant-moi..- Lés bras croisés, |:
Jésquels, plus ‘éboufittés que’ Jainais | } me regérddit Avec stupéfaetion. pe 1!
produisaient Veflet d'un panache. … semblait aussi - ‘eonsterné que ce pef- ’
Je mvétais cachée derrière une por-|;onfige des contes de fées qui troive | sible
je, quad fl-paser près de motje len-] es Mismenté-changés-èn- ee Be
tendis murmurer: x ae Jéve levai : un peu hontëuse, cûr je
“Je reviendrai avec la cer!” {l'avais met en attrapé. +?
Cette décision me. <omrerie wwe! “Oh! ' ‘
M Dr ouré, méme te en sèr-|
qu'it fit chaud ou froid, ayant, depuis
et je jugeai qu'il serai habile d’user
son n
de quelques précautions oratoires «- da
vant' de poser “ma: question. + 41) . ou
+ Comme tes cuivres-sont beâux et
reluisants! lui dis-je d'un air gracieux,
= On fait ice qu'on peut, grogna Su-
zon. Après fout; Ceux qui ne sont pas
contents wont qu'à le dire.
— Tu réussis très bien ln fricassée
4e poulet, Suzonj'oontinuai-je sans me
décourager, tu devrais m'apprendre à
ta faire,
— C'est pas votre besogne, made-
moiselle; restez chez vous, et lxisséz-
moi tranquille dans ma cuisine. *
‘Mes moyens de cérruptien nc pro
duisant aucun effet, je dirigeai mes
satteries sur un autre point.
“£gis-tu une chose, Suzon? Ty #s
dù être bien jolic dans ta jeunesse !”
dis-je, en pensant à part moi que, si
Lait pré mé, êlle € {
mat Qué toutes les ares dr) on
saient son origine étaient Afacées: :
Cat
Reine,” “on: pes
faus
né"plüme h nnête refuse à
4 e ho se moai-
mer, ne fût point endommagée
chârgés de "OR A 4 un Ps
ee conduisait tout seul, se plaçait
| the Cr Endtahns 2 devant, e’
le curé monteit près d’elie.
Alors, simultatément, ils se
naient vers/moi.
“Ne faites pas de sottises, disait ma
anté, ‘et n'allez pas dans‘le potager.
—— Ne meftez pas le désordrz dans
un chegrin causé” par elle, s'approcha
de moi, me demanda tout bas*pour-
quoi je pleurais et s'éforça de”mecun-
soler.
“Ce n’est rien, mon cher bon curé,
dis-je en essuyant mes larmes et en
me meuant à rire. Voyez-vous, j'ai hor- |lectures
reur de la souffrance physique, la tête
ment: Je me dis : qu'il, déouvri = Mon
ceriairement mon secret et que je ant “Péveril du Pic” sur moë cour, je
qi ut continuer mes chères mal de venger €
“ez-moi continuer.
J'aliai aussitôt “chercher plusieurs Ru 08 Libes HO out 4)
tour-
j'avais été son mari, je l'aurais mise à x me ‘fait mal, et puis je dois être af-| romans que j'emportai dens ma-cham-|äurais cru cela de vous!”
suire dans le four pour m'en débarras. | 1 £üisine, criait Suzon, SE CORRE treuse bre, et les remplaçai sur Jes rayons par |: Cette douceur Wm'aitendrit : d'autant | :
ser. vous du veau froid pour déjeuenr.” |. __pss pus qu'à Vegieu”, dit ma|des liyres pris au hasard; mais, mialgrél ‘lis que je n'avais pas la consciènce
J'avais touché ta corde sensible, car] 1€ curé de soufflait mot, mais sante, Mes précautions, je jugeai que le car:{:rès nette, mais, par une tactique émi-
m'enñvoyait un aimable sourire et fai-
rait ur geste qui voulait dire:
“Êlle n'# pas voulu, mais je vous
aurais bien emmenée, moi"
Ce smémnrable lundi, les choses se
fassèrent comme à l'ordinaire. Je fis
quelques pas sur la route et je lès vis
bientôt disparaître, secouiés tous les
trois comune des paniers à salade.
Sans: pérdre une minute, -je mis à
exécution un projet müri depuis long-
mps. NH s'agissait de prendre posses-
“ion de la bibliothèque, dont le curé
avait.er la malencontreuse idée. d'em-
‘ürter fa clef, mais je n'étais pas fille
i'me décourager pour si peu. *
- Je courüs chercher uns échelle que
‘& traînai suus la fenêtre de la biblio-
thèque; après des efforts surhumains,
Suzon daigna sourire.
“Chacun à son beau temps, made-
moselle.
… Suzon, repris-je, profitant de ce
bit adoucissement pour arriver plus
vite à mon sujet, j'ai envie de te faire
une question!--Quetle est ton opinion
ur les hommes... et les femmes ?”a-
joutai-je, songsant qu'il était ingé-
nieux d'étendre mes études sur: les
teux sexes. . :
Suzon s'äppuya sur son balai, prit
son air le plus rébarbatif, et me répon-
tit avec une conviction entrainante :
“Les femmes, mademoiselle, sont des
Le curé me régné ‘ un sir inquiet.
I],m'était pas satisfait de l'explication
et se disait que quelque chose d’anor-
mal slétait passé dans ia. journée. : 11
me conseitla d'afler me coucher sans
plus tarder; ce que je fis avec empres-
sement. |
J'étais bumiliée. d'avoir fait une scè-
ne d'attendrissement, d'autant plus |’
humiliée que je ne savais” pas pour
quoi j'avais pleuré. Efait-ce de pldi:
sir, de contrariété? Je n'aurais pu fe
dire, et je m'endormis en me népétant
qu'il était inutile de chercher à analy:
sér mon‘im on.
P. nt le mois qui suivit, je dévo-
rai la plupart des ouvrages de Walter
Seou. Cenes; depuis <e temps, j'ai eu
des joies profondés et sérieuses, mais,
reau' de papier dont je ‘m'étais ‘servie
pôur remplacer la vitre brisée était un
indice : qui |maceuserait hautement. ‘| . “C'était une distraction, monsieur le
C'est ce jour-là que, en examinant juré, et je me trouve si: 5 D
des lettres trouvéès dans le/büréau, jel: -— Malheureuse, Reine dar
dé-ouvris l'origine de ma tante, 110€. “CES ét Mn 68 A
tait une armié contre «lé, et}: résolus] ‘avoir une 1anie comme 4e
dé ne pas tarder àm'én servir: Efle pe me bat plus, c'est vrai, mais CE Ù
Le iéridemnin;/à déjeuner, elle étnit|le me dit des choses qui me font ans} à
de teès mauvaise bumour.. Dans senelde peine!” -::( {0
disposition morale, si elle ne trouvait{: “Qne-4é eonnsisesié Dés nca: 4 d
pas un prétexte pour m'être désagré-{l1 avait déjà oublié ses griefs er 508 À “|
ie. elle s'en passait. crmoos; d'autant qu'il. Y aait -un{
Je révais à cel. aimdble Buckingham grand . br de vérité dans ets pa-
qi me sara dar avec - spi] roles.
nsolence, nes beaux habits, s “Est-ce pour us die F
téttes €t son esprit, er 1e Se te ‘riste, mon bôn gi se ro "
dais pourquoi Alice Bridgeworth"é"ait
au désespoir de 225 1rouver . 2hez. Ai
hemment féminine, je m'empressai de
thaager la question.
des rien du tout,
-Oh! wprotsstai-je, en es-tu bien
Certainement, monsièur le curé.
Pensez done que ma fente me répète
- C'est aussi sûr que je vous 1e dis, | ® Féuesls à la lever et à Fappayer so Lgucique grandes qu'elles aient été, je! quand ma sante me ditiaans préambu | ae tous les 10e Je Suis un avor-! snécis
sadenoelle” lidement contre le mur. Grimpañt|ne sais si elles ont surpassé de beau-|le: 10%, due je suis Life peurt 1. ‘4
Ne administre un grand coup de lestement les échelons, je cassai ünc|coup en vivacité celles que J'éprouvais{ “Que vous êtes , Jaide de siatil: Rei.| Mes Yes s'emplirent de larges, car ;
de ai aux débris de légumes qui se vitre avec une pierre dont je m'étais pendant que mon esprit sortait de sonf ne!” « De sujet: m'allait V0 | 4x .
trouvaient par terre, et les fit dispa-| dunie; puis ôtant les "morceaux de broujllard comme .un pâpillon de sal: Je sautai sur a chaise: : Le bon curé, ému, se trous 1! HV JU
raître avec autant de dextérité que
£rre encore attachés au châssis, je |chrysalidé. Je marchais de ravisse-
‘ssai Ja partie supérieure de -mon|ment.en ravissement, d'extase em ex-
“orps dans l'ouvertüre et me glisse |sase, :Foubliais tout pour fe songer
‘ans la bibliothèque.
À : qu'à mes romans et aux personnages
Je tombai la tête la première sur le| qui excitaient mon imagination.
arreau; je me fS une. bosse énorme! Quand le curé me définissuit un pro-
sb from, et, le lendemain, le Quré }plème, je pensais à ‘Rébecca, que j'a.
väisMidséé en tête à têté avec le Tern-
“lier; ouand il me faisait, un cours
d'histoire, je voydis défiler devant mes
yeux ces charmants héros parmi les-
ques mon coeur vo'age avait déjà
choisi une quinzaine de: maris; quand
il evadressait des réprochies, je n'en
entendais pas la moitié, étant occupée
à me confectionner un çostume sem-
blable à celui d'Elisabeth d'Angleterre
FVoïlà! dis-je.en: lui passant Ja sa-
lière”’.
“Je ne demande pas”le vel; soute!
En vérité, vous devenez aussi stupide
que laide !”
11 est à remarquer Que mA fan: ne
me tutoyait jamais. Du jour où elle é:
isit deveñue là femme de mon 0]
elle avait cru se mettre à Ja hauteur |
de sa sitratiôn env Supprimaô: de fu-
vojement de son vocabulaire. Éfle di.
sait vous mème à ses lapins.
‘Mje ne suis pas de votre avis, ré-|
pandis-je sèchement,-je me trouve très
jolie”. :
_— La boñne farée! S'écris mix tante,
olie, vous! un petit attend pas plus
Ll
az d'un air perplexe, Hi était loin per un :
rater ts SR PSE M: SE 0 6 F 1
noint, jet se déisandalt qüel moyen 11} es
ourrait, bien. employer dissipe: À
(ee RL on 2 ae 1
me l'orgue et autres { -
di
jets de son antipathie.
… Votre front est tout noir, ma pe-
tite Reine.
Je me retirai dans ra chambre pour
méditer sur l'axiome , misanthrapique
érioncé par Suzon, assez découragée en
gs: grand
chose, et que mes amis, inconnus, les
hommes, méritaient {a dénominstion
hümiliante de rien du: tout.
fagoorta un onguent pour la guérir.
spremier soin, quand.je “ne re-
evai et que l'étourdissement causé par
va chute se dissipa, fut de fouiller
‘ans les tiroirs d'un vieux bureau pour
ee mr me reñtontfeht, ‘à - E
(Etes d'intervalle, avec 1a pensée de | ]
“a «lie belle file de France.
CHAPITRE V.
Loterie
Néanmoins, mes études de moeurs
e résolus de les poursuivre à : l'aide («Conde | ou d'Amy 'anéda 3. € 1404
des romass de la AE FA _ Balscmiquss - Antiseptiques 2. Lib Ter erint aujourd'hui ?| “Mieux vaut ressembler à uñe}
Pripicérent un our 1, 7 Qu HS PS 5 ait-il rs Postme -mao- a
vi rame, le curé et iSuzon devsient al- VE les TOUX CHRO- ». — Rien. x que”, Le rnt 4h ei ‘ Es
ler ensemblé à C... Ma tante avait NIQUES ou. AIGU — Compfeat rien. ‘Ma tante croyait ‘fermemént “eyoir
désqé, coupe tokjours, que le reste- Tout ‘péla : miennuie, se
rois à.la garde de Perrine, et pour 1] les MAUX de d'un air fatigué. | lerie Sur ce su
vremidre ' is dé ma vie, certe décision pi per Le“pauvre euré était consterné, 114 ‘# J'ai été
prépareit de longs discours et me les |le qu'on sous #y
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gures. 1x
f ? e , : Corsets
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1à New-York l'hiver dérnier,. Ses mé-
NH decins admirent lors de son départ
pour
pour l‘Italle que su vie était en dan-jles aéropianes continuent à laisser |" map iront ave plaine vous sen ou au Dr, Albert Dauth, Vs |.
‘ger. Récemment {ln été atteint de | tomber des ÿ des. &rmes. et taire” une SE ic chez vous. Li r., DAVRIGNT, uv.
péritonite aigue ef son état devint | des. munitions Âes positions cer: | : E-ADALENE “MUNRO, Gérant ds LT + Piresteur,
vite critique.
; A son arrivée ici au commence-
ment de l'été, Caruso déclara que le
de l'Halie lui rendrait la santé
a ét qu'à l'automne il. retournerait. aux
États-Unis pour continuer à chanter,
I1 s'était retiré avec sa femme et sa
fille, Gloria, dans une villa de. Sor-
rento. Dernièrement, il put chanter
comme avant sa maladie, mais son
état empira et ses médecins décidè-
rent de le transporter à Naples. Au
: [cours d'une excursion qu'il fit à Pom-
péi, samedi dernier, i] fut atteint si
gravememt que ses médecins craigni-
rent un instant qu'il allait mourir. Ils
parvinrent cependant À la ranimer et
On le transportu chez lui.
Hier soir son état était si grave
que ses médecins ne savaient pas
s'il passerait la nuit. .
LAN GP RUN RERE
CARUSO EST MORT
nées par les troupes marocaines, Lés
attaques de ces dernières ne causent!
aucune perte aux, Espagñols,
Des détachements arrivent quoti:
dlénnement : à Mélilla, après avoir |"
franchi les lignes ennemies. se
On ax que. le moral des troupes
cernées das Zeluan, Nador ét Mont |.
Arruit s'améliore FPRORrA IEEE
pme PE med
Pour la maison et Péisnte._ 1 7-6 h
beaucoup de ressemblance, physique-
ment parlant, entre l'homme at les:
animaux. Tous deux sont sujets à
beaucoup de maux provénant de l'in-
flamation et à toutes sortes de cou-
pures et de contnsions. L'Huile Elec-
trique du docteur Thomas est un re:
mède de toute confiance dans ces cas
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Londres, 3 août. — Une dépêche
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lieu au théâtre Nuevo de Naples. Il
LÎse fit ensuite entendre à Palerme,
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en Italie, il se produisit dans presque
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dissant, il fut appelé à 6t-Ptersbourg,
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tion des bons chemins et des conces-
sions forestières et pouvoirs d'eau ac-
“Téordés” ai fameux syndicat Backus
de 6rt Frances,
Le premier ministre et ses deux
@Bt empêché toute amélioration ma-
térielle dans le commerce étranger.
d L'ARMEE ROUGE RUSSE
‘Riga, & noût. …— Dans une entrevue
qu'il a àg avec l'agéncé Rosta, à Mos- collègues déclarent qu'il n'y a abso-
* gou, re oem _ “sara la | jument rien à leur reprocher dans ces
“ee bolchéviste a démen es .
de disent-ils, tout à l'avantage de la po-
bruts “ouru que’ les boicltie- : LE
à pulation d'Ontarto,
viki sesobilisaient contre les Etats
er LU 4 a. Russie. HN aurait a- ne UE ARE EPL ri ETUI
Jo 6e rouge russé Ge SOS TE 7
trois foité plus petite qu'il y a . LA RECOLTE DES PATATES
mois et qu'elle se démo te 5 FT — &
. davantage. PP
Trotzhky «à reconnu { était exact
que ie gouvernement des soviéts aug:
Ottawa, 4 août. — Ce sont l'Ile du
Prince-Edouard ét la Colombie. Bri-
tañniqué qui obtiendront: la meilleure
récôlte de.pommes de terre cette an-
l'armée que le: ée. cell
an ca Québec, ne serd ;
pores - Le Lou se plie: | au ds © ru de
1920. Ontario 650 pour cent et même
proportion dans les autres provinces.
bg: +
énts de l'at-
attafent avec les trou-
Blfamal pacha, le chef
M Cntre les Grecs. ;
Maïguerite E.-Harri| À
, @lle-même a
ïs en pMS0n, à
é mise en liberté
TRAYALL.
GRAVE
SITUAT:
Ottawa, 3 août. —
oublier que cent millions de dollars de
marchandises fabriquées en Canada
donnent 70 millons de gages aux ou-
vriers canadiens.
Cet: observation a été faite par
le ministre du travail, parlant sur la
situation ouvrière qui existe en Cc“a-
da. a
L'honorable M. Robertson admet
que la situation est beaucoup pins
grave qu'on se l'imagine, et depuis
un an il a été dépensé trois millions
et demi de dollars ‘pour aider aux
chômeurs. Cette aide a été fournie
par lés municipalités, le gouverne
ment fédéral et les gouvernements
provinciaux. Le travail diminuant con-
sidérablement dans tous les industries
tout fait prévoir une situation encore
plus sérieuse pour l'hiver prochain
Un des meilleërs moyens du pro:u-
freur du travail aux artisans canadiens
serait d'acheter moins de marchandise
aux Etats-Unis et de fabriquer da
vantage en Canada, c’est là le secret
de la prospérité pour l'industrie, le
commerce, le travail et par consé
quent pour toute la population du
Canada.
sénateur Frabce 145 l'Etat du Mary-
land, on peut s'attendre à ce que d'ici
quelques jours tous les prisonniers
américains encore détenus solent re-
Mchés, Elle em a 4té avisée avant de
quitter Moscou.
on ——
LE CHÔLERA EN RUSSIE
Riga, 3 août. -— Le Dr N. Semashko,
commissaire de la santé publique du
gouvernement des soviets! écrit dans
le ‘Haveñtia” de Moscou, que la tâche
de combattre la sérieuse épidémie ac-
tuelle de choléra dans la Russie des
soviets éat rendue beaucoup plus diffi-
cile per le terrible état sauitaire qui
existe actuellement dans tout le pays.
D'après le Dr, Semashko, la boue
daus les rues est telle que même dans
les temips secs, les personnes. qui
sont asset beureuses pour avoir des
caoutchotes marchent dans lès rues
pleines d'immondices des égouts et les
approvisiohnéments .d'eaux sont dans
de terribles conditions.
“Ajolée à céla, dit le docteur, est
l'émigration en masse, comme si elle
‘avait été malicieusement préparée qui
transporte l'infection d'une place à
une autre, par milliers et milliers de
verstes. La population affamée du
Volga se rue vers lé Sud comme une
avalagche, semnnt sur son chemin la
contagion et la mort.
“Le choléra s'est déjà développé
sous forme épidémique dans les gou
vernements de Rostoff, Volga, Voro
nesh et Orel. Des insurrections ont été
découvertes dans les localités les plus
étendues de la République... , à
“Debs le Volgé, le adèctre êu cho-
léra et de la famine apparaît comme
aux Jjôdfs nététgs de 1891-1K92. Ceux
qui vivaient à cette époque, sans par
ler da geux quiont aidé à combattre le
fléau, séhtent leur sang se glacer
dans tours velnes au souvenir de eette
terrible, épidémie."
te
LE RETOUR DE M. MEIGHEN
Ottawa, 8 août, — L'Hon, Arthu
Meighen, premier ministre du Canada
est attendu à Ottawa dans queiques
jours, devant débarquer à Québec i
la fin de la semaine. ;
Outre une décision finale, au. sujet
du service civil, savoir si L démis
sions ‘par centaines doivent” te con
tinuées ou suspendues indéfiniment
fl y a pliileurs quest Gt politiques
de la plus grande importance à décider
Le premier ministre devra anxon
cer des élections partielles pour ren:
plir les vacances à la chambre de:
communes et la date de ‘a prochaine
session ou des élections générales vré
cédées d'un remaniement ministériel
Les partisans d'un appel au peuple
ne soht plus aussi fiombreux, et ls:
députés de tous les partis insistent
pour upe autre session afin de» faire
la distribution des sièges éiectoraux
Ce sera au premiér mildistre à ré
soudre ce pro dont dépend l'exis-
tence même du” rouvernement actuel.
ps quelques jours la sitdation poli-
séra apte à: Ottawa.
CEA
CH
L 2
É
Îterview au correspondant de la Uni-
toire dû môndé a été affligée d'une
Il ne faut pas
:
:
È
£
1
5
HE
LAC DU BONNET
——
C'est ce que démontre bien la bro-| 11 semble étsangt. ns des. lecteurs, : | DENTITE
chure, due à ta plume/d'un laut offi-|umis du Lac du Bonnet, désireux de 7e. EDIFICE "MeCALLUN H HILL:
cier et préfacée par l'abbé Perrier, | prendre des terres-ici cu au moins SASKATOHEWAN
aumônier du Conseil central de Mont-
réal, que vient de publier Oeuvre des
Tracts, Demande#la à curés, si
elle n'est pas davs le-casler dé'votre
église. -
10 sous. L'ex. je v | FRA #600 le
cent, $60.00 le tuille, ;
désireux d'avoir des détails plus suc-
cinets sur notre localité, ailleurs pren: |]
dre des informations auprès du maire. |
| local lorsque “Le Glaneur” à annoncé
dans l'une de ses chroniques que le
conseil entier était aux mains d'étran- ||
gers. Pour ce qui or un clocher |
et un groupement français, l'on peut ||
être assuré que ces messieurs #_ sont | |
loin. de nous être sympathiques et
seront toujours disposés à nous induire
en erreur s'ils prebrient la peine de ||
nous répondre; ils jettéront plutôt vos
lettres au panier par pur fanatisme, |
Puisque “Le Glaneur” tient à rester
sous le voile, amis lecteurs, adressez-
vous à l'auteur de éès quelques lignes!
qui ne manquera paf de vous indiquer ;
verbalement si vous: venez ou par voie gr
de correspondance si vous 16 prétérei| =
les facilités et les inconvénients qu'of:
frent nos “homestéñds"” et aussi de
vous mettre sur la.piste de gens: qui
vendratent rare dress —{ermes
CA” FAMINE" TUERA 15 MILLIONS
DE PERSONNES EN RUSSIE
Paris, 3 àoût, — Alexandre Kerens-
ky à déclaré aujourd'hui dans une in-
ted Press que 16,000,000 de personnes
vont périr de faim cette année en Rus-
sie, “Jamais aucune nation dans l'his-
den. hopitaux de le Kpris. etude. APT
malndiss den nés et Cdi
l'Heures de consultations: 2 à 6 h. :1
Bureau: 702, Edifice Great West Per-
manent-—366, rue Main, Winnipeg
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telle calamité.,; be, grande famine qui
fit périr dés milliérs de Chinois n'est
pas-à-comparer avec celle de Russie,
a déclaré Kerensky.
La seule maison française de: Winni-
pes, pourtes travaux; dei:pein<.
‘ture, 'décofäatiof, tapibse-
rie, verre, etc.
te
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Magistrat À ‘Avocat de Mani-
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de Agnès Whnipeg
682,
r européèn de] ;
l'America Mer Association à Lon- | à.
dres, de-se-rendre immédiatement à
Riga. afin d'y préparer les voies aux
cours qui seront apportés à la Rus-
sie affamée, Hoover a toutefois stipulé |lix Vandenbosch etid'Octavie Yallons
que les prisonniers américains de-l'4e cette paroisse.
vront ôêtre,.remis en liberté par la *
Russie, ainsi qu'il & été demandé ré-
emment par le Département d'Etat,
avant que l’on entre en, pourparlers.
Riga, 3 août, — Alors que la Russie
demande aux Etats-Unis de venir en
aide à son peuple qui souffre actdel-
ER AA +4
Maîle Ehzabéth-Rits, née le vingt
sixième jour de juillet, fille de Fé-
) hi: à
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* *
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de carte au profit de l’église. Cette
soirée a été organisée par les Dames
de St. Anne, et a été un succès. Tout
lè monûe s'est payé un bon moment
de plaisir, On a chanté, fait de la
vernements de
lement de la famine, le comité exé-| musique et gaieté Ayonsen donc torpeur du foie, +— 1 #.30 & 12 im
cutif. de la Troisième Internationale! plus souvent de céf réunions parois- Ge Chimique Francs Amécinine Léa Monrédt A. Moes À res 7 rouen *:
a transmis à l'univers, par radioélé-| sjales! , + , à
graphie, le message suivant: “Les gou- .. COUNSELL & MACPHEZ
- l'Angleterre et des
Etats-Unis désirent que les classes ou-| 1€5 adbés Heyngn; curé de Bru- . Apprenez à conduire un trac- ABSURANCES
. otre 6co- de tous genres ar:
vrières de’ la Russié leur permettent | xelles, Sec curé de St. Rose, et teur, soit en venant à n u ; DENTISTS : #
d'échanger avec elles un moreeau de | Descliambault, vicaire à St. Rose fu- le, soit par un cours par corres- EDIFICE McGREEVY “4 07
pain afin d'avoir l'occasion d'organiser | rent de passage au presbytère lundi postanes. j JS Ave Portage Winnipeg, Man vd l'Upiverstté
cage, sollicite is
sur le sol russe une contre-révolution.” | dernier. &lenne-frangaise.
Pendant que les autres pays sont Toutes les ma ds traitéen 18 uirics SOMERSET,
À s'organiser en vue de sécourir la Arras aques pres leds pla Le dre Tél A SM
Russie aflamée, le gouvernement. So- ‘ lN ur Faide de sue . its. 7)
viet trayaïlle à prévenir une päreille
iituation pour l’année prochaine, Pour
/ arriver, on devra distribuer au peu-
le douze mwiMfions de pood (pood é:1:
luivaut à 36 livres) de grain pour les
semences d'hiver, Ces grains devront
. J. À, SEGUIN|: "0722:
| sera
RS | ALEXANDRE. GELINAS ik
On a cofamencé à prévoir hier lés | sous-pour “port: | à ENC |
mpôts en nature, ce qui sera le meil- FE a
eur moyen d'approvisionner les gens
le grains de sémence, et du succès
lé cette collection des redevances dé-
end le salut d'une grande partie de
«a Russie. -
L'ancien premier-ministre drrive de
Prague où il est allé exhorter les
léhéco-Slovaques à aider la Rissié
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i rant de faim. Hi tient ses informa: > DR E À ‘
bee concernant. In famine des :rôte- MBDECIN ET CHIRURGIEN ‘
s à cet endroit. PTEL
{Un minimum de 11,000,000 de ton-
es de Dlé seraient nécessaire pour
xaver la Russie, Kerensky dit que
1 famine aura poÿr conséquence la
anqueroute du ernement Fadical
+ Moscou et la réorgänisation der!
ien gouvernement c'està-dire le é
me Kerensky. /
“. Kerensky a décrit “la marche de la
nort”. Environ 10 millions de person-
es courent les campagnes et: rava-
jent tout pour trouver: des: vivres,
l'est en vain que les paysans essa-
rent de se protéger. Un! grand uom-
bre ont été tués : ;
Cette invasion est pire: que. celle
des Barbares au XII sièèle.
ÿ Kerensky demande une Aitervention |
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type. L'emploi d'un bélier de-raeg pOre so), 11 n'y à pas à crafnäre que J'avoine |
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aurait peine à croirg à là qmainé. de
A ibéheiris ditne dans: dourriture. qui 4e.tropve dans le-chau- |. :
; | éorèn # me si.on.né l'avait, pas vue. Pour 0e | 2
on augmentant ; :
[as
u “A ;pelgné, …
HER
faut un peu, plus dessemenpe. dans .ce’
cas. ; TEE TR" 6 "y
os: MUR,
d'automne: |
à TR MP 7 re, et comme-récole wncase: et à l:)
EE À - ‘ ME a
Ses avantages. dans |t0m.n0 saurait être contesmeset cette] } |:
+6 Wa l , | plante sera certainement de plus en. :
Quest. ." * [sius appréciée à mesure que. ses bon-
int . stion « mn den dt coeie—7. À vet qualités sarput mieux connues. :y
à Let ed Le seigle d'automne, qui s'adaple 4 : & tot ,SN0 De! MeMENZIE, 7
Ayez hoë bonne Quantité de gros four-| {ant d'emplois diférehts, gagne rapt|. | Résisseur, Indiur Hvd, Sol,
rages, à bonne distatce de charrol. Ce! jement du terrain. dañs .blen des sec- - ; RER x
peut être du- foin, de -la bonne paille {tions de l'Ouest. ” PIE MS Sn GE ne à Ces PT PVR
d'avoine ou à défaut de ces deux .de Scaift ‘Al ératècte sé DS wi '
là bonne paille de blé. L'ensllage de | étx nées, N à
-{tourmesoïis est aussi un bon dtiment, R M'A. subre milles que :poûr Le ray-grass
7
son grain, mais on lui a découvert
d'autres emplois qui expliquent va po-
pularité crôissante. 11 éêst surtout ütile | - Dans le livre “Plartés fourragères,
dahs les régions les plus sèches, où | prairies et: pâturages" publié il y ‘a
le vent cause souvent des dégâts et environ huit ans par M. Geo, H. Clark!
partout où l'on élève un nombroux bé-Tet l'auteur de ces lignés, noûs disions
tail. Comme 11 prend possession du | qué le ray-grañs de l'Oueit; "46 même
sol au moment où les vents sont lelque beaucoup d'autres plattes four-
+ lést très* importante, Commencez par
donner un léger repas de grain et aug-
- |mentez graduellement et de façon vak | plis à redoûtér, et qu'il pèut résister | ragères, comprenë äe nombreux types
Donriez d'abord de .deux.A quatre ati . ntité _—— R =
bvres de grain paf jour et portes gra " : Ne ’ : L 14 £ , » Y Huts ?, à 4 ; M: Mere. i F> 168 b
17 16
_ Cr:
duellement celte quantité à douse à |Vices. Entin 11 est apprécié des âle- | coup de foin nourrissant et succulént. dé ‘Main Wii |. Grains. A8 \out |
veurs parce qu'il résiste À la paissance | Le ray-grass -actellement cultivé est É DES ER | À
un mélange de types, et la production e “à LÆ EE Je 1
A
‘est donc relativement faible, Au. m0: | He ns tee M JE ord, 111.798 | 1.78 | 1.744.
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DU PACIFIQUE OÙ DANS L'EST DU CANADA"
UNE EPATANTE VACANCE
PAR LE CANADIEN-NATIONAL |
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Lés Pirilés de
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mort « deté-1a éôhsternat{on dans tou-
te 14 paroïste et les environs. Nous |
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: 4 * "4 4, L-visits_ le
et d'éntrain, reha
Ait nas. | *
Là fanfaig avait: joue l'ébtréf de: M |°"
nidsse, -eile ‘joua: la :s0rtip, joua -atissi |.
‘aüelques-airs sûr la: places} puis vint
N c 114
Ava Fbéams, Monture rt delete EMMA 1 D
sr. | Bruxelles, adrésss is parole à von au: |h
ditoire et en termes les plus émus, dite des ar so" ou Er
É Lu autiliés cu voeu de Véheré, 3 reures,-1a paroisbe allé prier sur. le |
RÉ Mg "nn 4m Foltbetièré, sous la présidence de Sa
Toute l'assistance partagea émet , _
oc a Anglais du pes vd s'é- Grandeur ,qui avait: fait une touehante
taient fait un devoir de payer ce der. | “lPeution, sur lea morts avant -que
# h s ; ë le procession quitte l'église. Une tem-
ujer ‘tribut d'estime et de vénération !” rad 6
à cethomme dé blen. lis ont emporté mére er aval, favorisé 0448
un souvénir ineffaçable, de ce: dont fête de la paroisse.
ls avaient été témoins dans l'Eglise; } : %.97:8
at disaient hautement qüe ‘Bruxelles D sc fre vont à ve à Le
perdait un grand homme. à x} pluie qui menaçait lundi pou :
Arrivés aù cimetière, M. Añthur Dos] ‘nête “ite le grain soit en
yon, au nom de la fanfare, rerdit un vous en béntrions: Dieu, Nous
% au'fl s'établit au milieu dé
ne yaRees SE . Je rerionte à décrire. 168:
toujours y ma d'une vie semblable. J1 fat avoir en-
rintérne out! et, dnt'l'ex-| tendu, M. Hacault lui-môftié,. raconter c x
emplé, 1} se inettalt ‘avant ‘pour | par quéllés transes 11 a pibaëès pour|bommage éloqueüt, ax: vertus . civi- fait une faute 9ù Re -pÉMiast qu!
pourtoir-au bien matériel et spirituel | comprendre l'étendue du slôrifice qu'il| ques te leur cher défunt, ‘leur : prési- nôtre ‘blé l'en dernier au: Coups mot.
de tous'eeux qûi l'apprééhalont. Quel- | avait fait en venant au: Les | dent d'honneur. pice: nous voudrions réparer les fa
ques dotes bidéraphiques, nous ferons j'du curé tes en gaprnissaut notre: bouts: cette
l'ai ‘chacun,
mieux” juger de la aleër de cet”hom-|Campeau, joints à sa co ER ae. _|année, Nous. le pourrons, j'espère, |
me ‘de bien, qui vient de disparaître, | branlable, dans la bonnè Pi nce, NOTRE DAME DE LOURDES Dieu Loge gi sé sp
Né à Poigique, le 21 décem. | lui firent surmonter tous 18$ übatacies. ET <S die LT UE
bre HE: n'ont hhmaités au col: | Songez qu'il dut rompre côffiplétément ee 7 La visfte de ls famille
lège dd Jésuiterà Türhiout et cotinut | avec sa vie intellectuellé, la iécture s'est faite dans qutasa
à pelle son-pèré, an uière, Catliérine | même, lui étant interdite. À plus forte
: pars de la Banque d'Hochelägs
dtibett,/anglaihe convertie, lui donna | raison, ne pouvait:il plus € Dix} "29 tranquillement. Nous aurons
nude” à! Yirile ‘éhrétienne. Jus- | années se passèrent ainal, son succès | une construction, proprétte, qui aura |i
aw'al dérnier Jour de sa vie 11 parlait | comme cultivateur était} iidéläcre, son cachet. Nous pensions d'abord que
encore avec adibirètion et une teu-| mais la vie, au grand air li avait ren
dresie vraluieut tiHalé, dé cette mète | du en pârtis sa vigueur intélicetuelle:
él déyèdée, qui'avait préféré renoncer | C'est alors que'sur la -déinande de
à l'héritage et à l'affection des siens, | Monseigneur Langevin, 1 reprit la
pour embrasser la Yrle foi. Et chaque | plume. Pendant sept à Huit ans, il
la ‘bâtisse serait plus considérable; |:
elle'suffira pour le moment, dès lors
qu'elle peut contenit le gros livre des
déppsitaires…
fois Qu'ir évoquait' ue} squrenir de sa |s'en servit avec D, . sd SL" e
mère; dl faisait ressortir son héroïlsmie, | peu à peu, !l reprit ses had d'au! : + ‘
qui d trouvesi privée. des biens. dé | trefois et sé apécialisa plie. jamais L'événement ALAN les autres,
ce mènde, et pbligée de pourvoir à |dâns la lutte contre là ‘fiagon-| are celte quintaine, est, sans :C08-
la: silbajstancé de sen doux enfants, | uerie. Et avec preuves à l'épgui, n|trodit, ls visite de Mer. Bslivesu,
dut s'adresser à différèntes maisons n'a cessé de démontref dé la sècte notre Pipe Nous attendions Sa
du A Grandèur, étla veut dire que
nous étions nn peu préparés, Des ori-
DéseOu, drapeaux flottaient à
2
LE
maisons; les abords de ‘l'é
us. fa presbytère étaient ornégi
éripur, de l'église se trouvait dé-
coté.à point. Quand la cloche gnnon-
ca -de û 4
quantité d'automobiles ali at
tendre
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Mai: 11-35 ave e Provencher, Téléphones NHi6-1104
ES
NVNELTELTP EN]
| Consalidation de l'unite aliemande.
| Cofléedsion de pure forme? Non pas. Et où s réduit La durée de l'occupa:
Prouer signe des concersiôns qui [tion à Éu'r2e ans,
fous ont, tout de suite, êté arrichées
ur le fond. Votiine d'une Attemagne de cette. occupation fussent directe-
ätressive, la France aurgit eu fntérét
À ne pas voir, du noins, cette shot
* Sanse redoutable fortifiée, dans le tra
46 do paix, par la consnlidation de son
Wriité., L'Empire, dé de notre défaite,
tiait encore, en 1914, une aggloméa-
tloh d'Etats qui conservalent au moins
tn demblänt d'indépendance. Nous au-
1is trouvé, dans une constitition f6-
rative, un peu plus de sécurité que
dans” un Reich centralisé. : On nous «
opposé une prétendue volonté popu-
laire qui ne s'était, du reste, mantfes-
ée nülle part: un a allégué qu'une Al-
leningne unifiée serait une débitrice
Plus soivabile; et on nous x menés, par
une sbrie de sophismes, à consacrer
housMmèmes l'indivistbité de T'Alle-
og à \
Restituuion incomplète des provinces
” voiles par l'Allemagne.
| Mais puisqu'on iuvoquait, à tort ou
à raison, les droits des nationalités
“. poufilsigser. la. Phase absorbér ina
t ol. les ‘äutres Rtats de l'Allemagne, là
S., Jüntibe et la logique eussent voulu qu'on
: Mt, en revanche, sortir de l'Allemagne
‘les piovincés dérobées aux pays voi
sims. On n'a pis osé ne pas admettre
[1] pcipe, mais où en à entouré l'ex-
n de formalités ou de restric-
tions qui l'ont trop souvent rendu il.
Jusoire, 11 eft été naturel qu'en ren:
di à la Franec l'Alsace et la Lorraine
toliéf qu'elles . nous. appartenaient
avant da spollation de 1815; nos alliés
ne l'ont pas voulu: on nous à atricte-
ment restitué ces provinces dans leurs.
frontières rétrécies | ‘de 1870, On .a
soutitis à ün plébiscite ües cercles wal-
iunt comme ceux d'Eupen et de. Mal-
médy; on n'a pas.osé détacher de l'Al-
leniftne, sans uxé consultation nou-
velle. les duchés qu'élle avait pris au
Datemärk, et ainsi, 1 est arrivé.que,
dans une partie du Slesvig, le ‘voleur
a été favorisé par l'usage qu'il avait
fait du bien volé. Enfin, so8s l'influen-
ce prépondérante du Cabinet britan-
nique; on à marchandé à la Pologne
les moyens de renaître. On ne lui a
pax donné le débouché maritime que
lui avait promis le président Wilson:
on à soumis le port de Danzig à un ré-
ghue hybride qu! a mécontenté, à la
_ fois, l'Allemagne. et la. Polngne; et
hour. la Haute-Silésie, qui, d'après tou-
tes Jes statistiques allemandes d'avant-
xuerre, devait être considérée comme
polonaise, on « accordé à M. Brock-
j derff-Rantszau le plébiscite au'fl de-
#7" ‘maudait. Ici encore, c'est M. Lieyd
\ Üieotfe qui. est intervenu, vontraire-
ment au voeur de la Fratice et comrai-
rement niême à l'avis des experts an-
glais, pour donner cette satisfaction à
l'Allemagre, comme si l'Angleterre
pouvait attendre un. profil moral ou
matériel de l'agrandissement du Reich
et de l'abaissement de la Pologne.
Lh part dulion réservée à l'Angleterre.
Nous n'avons guère. été mieux gas
tagés dan les autres parties des trai-
tés, Les colonies allemandes ont été
remises aux Alliés, mais ce n'est pas
à nous qu'ont élé atribuées les plus
importantes. L'Empire turc a été par-
tag4 mals il j'a été de telle facon
que l'Angietérré à vu, en Orient, soi
… fütoriLé À rome aux dépens de la
nôtie. Li Mésopotatüie et les grands |
themins de l'Asie shot maintenant en-
4 bre loë. mains de l'Empire britannique;
dans la Palcetine, qui, d'après les ac- | publique et &e crotre qu'ils feraient |
verte. anglofrançuis de 1916. devait | accepter aisément les concessions ex
être Imternationalisée, le sionisme est | quelles ils étaient amenés, :
deronn après La paix. le prête nom de
” Te terre: lémir Fayçal, protégé
‘ raÿeterné par nos alliés, a fait tout
À à * rérerdét de Mi pour nous ex-
|. pulétr de Kyrie: bref, nous avons a}
cer’! à Sèvmit Éhutraté que dési
1117007 Ven INEMAlTER eux ménes
San an vins on
; allemandes en France après 1870,
| ou n'a pas 006 demander in -reii-
a À rer er €
&:v0 da-potitnbh rate, entr bent Pr
un an et demi, par les Cabinet frah- |"
çais au sujet des réparations et des,
gaïtaties,. il n'a qu supposer qu'use
conduite, aussi sontraire à +08. voeux | “1
et à ses intérêts fût Mbre-et spontanée,
ei 1a-été, non sans un peu d'huirhilia,
td de conclure que, au lien
de raviguer per ces proprès morens,
nons étions remorqués. \
Série de capituiations sur F4 répars
tions.
à JS ET TN D
éontitent.
1 eût 6e, rawwar aie que eé frais
de Essai amie la France He
ja France.
nt rtés. les .
ment supportés par les habitants ei Raymond POINCARE. ps
que l'autorité tuilitaire eût, dans Île
L pays, tés mêmes droits que les armées
= Not, nous s2-t-0n dit. Les Alliés
feront avance des frais: Alleniagne
Mgr: à .fhsuites quant à l'auto-
QE serait trop dure;
En tne. Commission civile interai-
Née; ce sera une mBreue de courtoisie
envers les Allemands!
dtsevbûre: et ce m'est que pur nos | |
s Are 29 Lord George. ouvrpnt ent les ve
condition essentielle de la paix future. red ige : nel Lies REcs |
|de le transport di “
RS men ren a
Ubis, qui. vous assisterons en cas de . de 4e anbnbr par! qu étaient souls ave:
vouveille offensive, alozaude,, Nas Fa à Fioes %e sont, jruuvés pv
vez-vous pas confiance va notre amitié à ‘ . :8%e sanglantes bagarres. Aer
ou doutez vous de notre parole? Volel An DO "| : mands ont tiré sur @hx. Plusieurs ont
un engagement signé de nous deux, a ps où blessés. : Queiques-uns:
otre
nt Wilson et HA George, qui}, sd » ke
garañtit votre 4r: s À DR eee [ee
Mais, dans ce vieux À; français, n _ jaloañ per à ed oncasm né gran int 4
auquel les Normands ont fait autrefois ere mue : Fra Le eh ces interailliée. ‘A; une*tôte de chasseurs à
impérialis-
pasnec Ja IEbee U Y'uvoR un nage tes, dont M. Lioyd.Ceorge la pañt du:
que le , Premier ministre. britannique :
parait avoir oublié: “Donner et rete- haodle. m0 pin. e à k cg
subordonné à celui de l'Amérique, et, rage loallen rome-elherl
comme l'Amérique a répudié les pro-
messes de M. Wilson, M. Liyod Geor:
ge s'est tenu pour libéré, Des An:
£lais qui connaissent la France et qui
l'atment, tels que lord Derby, ont :vai-
nement insisté pour qu'un pacte d'al-
Hance fût signé entre l'Angleterre et
nous; l8 Cabinet britannique ne les #
pas écoutés: j] n'a même pas consenti
à demander aux Communes. de voter
l'engagement d'aseistance éventuelle
TIR À
3 , À Pure sers oi
: PE en (Area dessu pee rx
vonetruedon PL M TIR PARA LORS ordinaires NENANTE de Sa “Josep h sd un € pelet. 14
selle d'un édifice ordinaire. La
disproportion est toutefois ois étonnante
ñ première vue, ÿA j
Sait-on de quelles masses FREE
visionnements de toutes sortés fl faut’
pourvoir, un paquebot à chaque traver-
ne pouvions songer sans un serremént ie du { alte et —.. ex trouver di
Île ‘coeur À: ces pauvrex petits" Pran- dirt
zais que l'Allemagne ‘vaincüe nie
tèvords de Paris, 1} etait clair quete
Cabinet anglais nous avait alors de:
tiandé une :mportante diminution -sur,
À “Nous avons élé ur ke jrs ]
+ rer notre jour de pris
notre créance et qu'il ne:s'était nülle- Vas LME Eee OR + 8 9 mt “Hp NUE
M. lAyod. Georgé: a DRE sen- 7 «a dde *
mnt wbligé dé nous suivre. le car 248 . Boniface, Men... “Nous 4
échéant, dans-la vole dés : sanctions. ce ” "+ pics w" apps da ter à l'embarquement de os Avr, EI 8 se sa ‘feuillets presses Houte Ta f
L'intransigearce dont M. Simoms-avs | PR dant yrnapucemitsai eu 4 tremo dr da CA messe, wisil e Sata pie
tuit-vreuve ensuite dans les converse | 2" Ne ee rs Pare Le chargement eu le déchargement du L
tions de Londres nous. avait sauts] * ” wa pas fret de la cargaison, On ei aura une,
. satisfaction. n'a pas été dontiée à le télo
d'une dangereuse abdication, et: nous idée par la listé des provisions
volonté des populations, et la politi- pou ,
pris alors, avec toutes. Ap- ‘ che il a fahe mettré à bord
sans le subordonner plus longtemps à pre P * vhs ie suivie par l'Angleterre et par la 1 Rd ot France” lors d'un
s | parences du consentement britannique, mpress
l'assentiment, des Etatæ Unis; : il. A France visvis de la Pologne est res- ui , à part
1 les mesures néçessäires pour. entrer “ ses defiers voyages pa
Gtn:in desicies fe Mustes à: AR éans la vallée de la Ruhr et pour en %e :aunsi: diférente mu'elle:d'étèit am les 4,500 tonnes. dé charbon: Mécéssat-L
. ” ” L h 4 _—
gleterre; il n'a pas voulu promettre vorer. en, À! De “le gendarme. et terxier, lorsque Lonfires“ fliridit: avec saires-à la traversée, les centaines del à
Ù
lrrosts Cana dans un conflit l'huissier”. à au tonne de Van | gallons dre: +: articles es- PA de diverses 4 » on) d.
: La Commission des Réparations sentiels à l'entretièn dés machiries ou giseaux de la basse-cour, comprenant | pales épicertes qui Sie à
L'éxécution du traité. avait signifié au Relch une mise en-de | 11 importe, de Jiauider pes tiges avéc}du navire en général, D'abord, lors-|qes-canards, des piseous, ete: Les | nu, on doit inclure 14000 Hvres Ses
On ragne encore sur notre part. meure pour la partie de la dette exi- l'Angieterre, mais d'égal à égal. que la liste des pasiagers est complè-| oquits de: la ‘literie sont représen- cuits, 13 tonnes de farine, 4 on!
te, l““Emipress Ôf France" réquiert 25
tonnes de viandes réparties comme
suit: 20,000livres de bout, 9,000 li-
vres de rhouton,: 6000 livrés de porc,
gible le ler mai, c'està-dire pour dou
me iiards. Le traité de Versailles]. IL est grari temps de mettre un
vous donuait donc le droit d'agir, mé [terme à des désaccords qui finiraient |
me isolément. “Pätientez quelques | ar. ruiner complétement l'ntente
jours, nous dit M. Hoyd George. 8: |"ordialé et par laisser déns.l'âme des
l'Allémagne ne s'exécute pas, nous oc-} iôux peuples une’algre rahcoeur.
vuperons tous ensemble le bassin de! .M: Lioyd George, qui 56 46bat. au
la Rubr: mais, pour mettre plus sûre | uilen, de: terribles dificuïtés : inté-
metn encore le droit de notre côté | ieures, s'est placé. d'autorité, epuis
commençons par: lui envoyer mn. uiti. | ieUx-a05, au ‘AOuvSrnnl du) vaisseai
watum”. Nous acceptons.-Muis eur | üi porte la fortud des Alliés, #31
quelles données cet. witimatum va4i} était dperçu: plus tôt, du méconten-
être rédigé? S'en-réfèret-on à Veo- [tement qui graliliésait en France à
cord de Paris’. Nullement. S'en.rap |A vuite. des déceptions. successives
porteton au chiffre de 182 milierdy [qui nous ét CL DE
fng-dar. la: Commission des :répara: [PAS en dauie qu'il sms nd
Vens?, Pas davantage. ; Comme.je Ne
indiqué dans ma-:dermière chronique
et comme l'ont hmminsusement montré
M. Terlieu dans son âpre réquisitoire
M. Forgeot daus son: magnifique die- | M
equrs. M. Chéran.dans soit irréfutabice
+ Pre En pe SU ES à noie nas dis 4e-ct amie cette de do
: As sg à Le she P: veaux, -is +de Î céder devant le [A
ce. per le jeu.des-lntépèts;de non | ès mouloir établir un | File # 4 ART. éau n.
veaux et graves snonifces. Nous m'au |ble: ot SPRTEU SUR
sucre, 1 tonne dé pois, 1 tone
rine”d'avoine et plusieurs mil
livres de 1ruits secs. à +
Cette énumération”nous Lil
prendre l'importance du ;
tés par 3,000 divres de beurre, 1,000
Uvres de fromage, 609 :gallons de :Jaft
ordinaire, 500 galions de lait évaparé,
500 piutes de crème à la glacé et 200
abons de crème. ,il faut anesi 30,000
oeufs; 18/00 iivres de poiames de ter-
’Îre, 49000 livres de navets, 2500 livres
À@e ‘earottes, . 0 Hvres de : choux,
1,200 tivres d'oignons et 1,000 livres
de betteraves, L' tr |
pm Fe ; elle
compreni 20 orangés, 1,000 poru-
mes, 34000 pamplemousses, 64000 ci.
trons, 1,000 Hvres. de Mbüñdnes et des
PAR gb 4
Telle était âdhc, dans l'ensemble, la
position fort modeste et, par bien des
côtés, assez périllsüse qué nous fai-
sait le traité de Versailles. Ælle était
loin de relnplir nos espérances et dc
réponäre à nos sentiments de justice;
et, déjà, à mesure que cet äète diplo-
matique «à été mieux connu, ont com-
mencé les premières déceptions de la
France, Nous avions, du moins, le
droit de penser que tous les sacrifices
nous avaient été demandés avant 18
signature et que, le traité ayant été
approuvé par le Parlement, en Angle:
terre comme en France, et consacré,
dans les deux pays, par une ratifica-
lon solennelle il deviendrait. la--Joi
commune et ne donnerait plüs. lieu à
de nouveaux amendements. C'était là
une fusion et nous n'avons pas tardé
à nous en apercevoir,
Dans l'exécution même deg chavès-
tions signées des divergénees de vues]
se sont immédiatement produites qui,
de Boulégne à Sau-Remo, de Hythe à
Spa, de Paris à Londres, se sont actu:
sées davilitage. Dans ces entrevues
rapides, où les photographes jouaient
souvent un rôle plus important que Jes
experts, il arrivait parfois aux initié,
tres français de ne pas-mesurer très
exactement la. fonce de notre opinion
vres; le maquerean, 400 livres:
Det tre, 4 voa Een
| Au chévitre és volailles Shure d'
ons | 1500 :ivres de poules; pouléts ét cha-
poux: 14000 livrés. d'oies; 1000, livres
: gui À quelques sue. F
avec l'espoir um nous le
nn co >. à sad jar a nd
% EN AR AMIE ML ue à =
Mais la France, elle. avait des idées |.
très claires. Ælle voulait la paix et fhe
elle voulait son droit. Ælle ne com
prenait pas qu'on pôêl ogner encoré
quelque chose du midimum que lui
avait donné le ttaité: et, dèé qu'elle à | Dis
urèe ‘bos. ous pour
ef | voire argent dans pen
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MES ER A re
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PR |. DEUXIEME ETAGE. 1
Robes d'été pour dames. Voile-et organdie. Réguller: $8.15.et- … : MP EIRE
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k. érdommie : 22T,
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Tous-ces Fords usagés sont -en-parfaite cond
l'ont préparée. [en proie à la'misère, dans le district |rayonne, 11, s'inciine :d
MIS D D 0 PAPE MEET 1.2 | d'eutrüt qu'elle qu'en:
! | AS pr ‘ {apprend le séûül ré
2 OORPRE SERAPHIQUE |
par le 'R P. Marie-Raymond, or. .
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Nous api avec plaisit. que M.
un des jeunes les
plus en yue de St-Boniface, vient d'être
tie dsl Bawif Grain||
À ù ? s i 4 ù > LE, | rat En cas d'urgence on pourra : leu
énage uñe ru V 5 ÿ He
La coupe Duüb: AN AU l'objet Has, ny" L Nouùs avons le regret d'apprendre à y mander par téléphone.
intéresante. Les “|. “e fi A nos lecteurs la moft de Mme Lachance a
FEU MMÉ LACHANGE
AU COLLEGE
rent: Ils l'apprendront en lisant cette
qui ne coûte que dix sous, 12
: Louis 7321), et les RR.PP.|
VERRA.T-ON LA REVOLTE. a ra AT
|. COUVENT DE ST-NORBERT
Lundi, le 29 courant, aura lieu l'en-}Co., poùr diriger la grande succursale : ° L s ge
trée des pésionnaires et le lendemain, que cette maison de grains ouvre dans pe Lu st acute rc sautiin,
30 août se fera l'ouverture des classes. | l'Est. RE, MM. les ab-|de Russes réduits à la misère, pds | pe=e=ereteeeenenen
À l'occasion de son départ ses amis PE ; 3 LÉ jh :
lui. ont. présenté, samedi soir, leurs
mellleurs souhaits La réunion a eu
Lé ‘deuil fut conduit per Mme doc
lieu à la salls Lavoie. Le
teur Lachance, M. et Mme H, de Mofs-
sac, M. et Mme À Potvin, M. et Mme
Poitras et vingt-trois petits enfants.
SAINT-BONIFACE [rs ts ue
= RUE Goulet, Joseph Chamgagne et Zachée
Laporte,
ST-BONIFACE L'inhumation «a eu lieu dans le cime-
|‘ W.M GAUDION ||